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Le premier Plan national d’actions « Odonates » (PNAO) (2010-2015), coordonné pour le Ministère de l’Écologie du Développement durable et de l’Énergie (MEDDE), par la Direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) du Nord-Pas-de-Calais et animé par l’Office pour les insectes et leur environnement (OPIE), avait pour objectif l’évaluation et l’amélioration de l’état de conservation des espèces de libellules menacées en France (DUPONT, 2010). En parallèle, dans le cadre de sa politique environnementale, la Compagnie nationale du Rhône (CNR) partage les mêmes préoccupations concernant les espèces menacées présentes sur son domaine d’intervention. Aussi, une des espèces visées par le PNAO, l’Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) se reproduit sur les lônes et les contre-canaux du fleuve Rhône. C’est dans ce contexte que l’Opie et la CNR se sont associés afin de réaliser une étude sur 3 années consécutives, visant la caractérisation des populations d’Agrion de Mercure et une analyse sur la gestion de ses habitats rhodaniens.
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Plusieurs références, entre autres françaises et anglaises, font état de méthodes de suivis éprouvées pour les odonates et pour l’Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) en particulier, comme notamment celles de PONT et al. (1999), KETELAAR & PLATE (2001), THOMPSON et al. (2003), FATON & DELIRY (2004), BOUWMAN et al. (2009) et SMALLSHIRE & BEYNON (2010). La présente brochure n’a donc pas pour but d’en créer une complètement nouvelle. Au travers de la présente fiche, nous souhaitons simplement synthétiser et proposer une méthodologie pratique pour le suivi de cette espèce, qui soit bien adaptée au contexte normand et que les acteurs locaux puissent facilement s’approprier et reproduire, en particulier s’ils ne sont pas odonatologues confirmés.
Le but du suivi sera ici de pouvoir quantifier les effectifs présents sur sites, de façon relativement standardisée, pour :
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Martinia
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Dans le document d’objectifs (DOCOB) du site Natura 2000 « le Lez », des mesures de gestion des habitats et de conservation des espèces d’intérêt communautaire ont été proposées. Des actions préconisées pour le Site d’Intérêt Communautaire concernent les Odonates. Ce groupe systématique présente quatre espèces d’intérêt communautaire : Coenagrion mercuriale, Gomphus graslinii, Macromia splendens et Oxygastra curtisii.
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Loss and fragmentation of habitat is a current main cause of biodiversity loss in freshwater habitats. Odonates (dragonflies and damselflies) depend on these habitats to complete their development. Fragmentation may be a particular threat for odonates because it generates a network of small habitat patches within which populations could suffer from isolation and loss of genetic diversity. The southern damselfly Coenagrion mercuriale is categorized on the IUCN red list as Near Threatened, largely because of population fragmentation and demographic declines associated with changes in land use. Small populations at the margin of this species’ range are of particular concern because they would be prone to detrimental effects of habitat fragmentation if this species were a poor disperser.We sampled C. mercuriale in 16 habitat patches (localities) at 4 main sites in the department of Pasde-Calais in northwestern France to quantify factors that affect dispersal and genetic diversity. Specimens were genotyped at 12 microsatellite loci to quantify genetic diversity, genetic differentiation, and the potential effect of landscape variables on genetic differentiation, and to detect any potential source–sink structure. Habitat separation had a limiting effect on dispersal by C. mercuriale, resulting in 3 main genetic clusters and weak divergence at the main site of Vallée de la Course. Genetic ifferentiation was low in each main site, implying that the localities within sites were connected at scales of up to ∼2 km, albeit with some evidence for isolation at the more isolated localities. Given the degree of isolation of some areas and a lack of apparent genetic mixing in the intervening populations, any movement among the most distantly separated sites must have occurred some time ago. We identified barriers to dispersal, such as woodland, but detecting an unambiguous effect of certain variables, such as urbanization, was difficult because many landscape eatures were highly correlated.
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